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Les travailleurs syndiqués du secteur public manifestent à Québec, en novembre 2020.Jacques Boissinot/La Presse Canadienne

La province a annoncé qu’elle nommerait un conciliateur pour aider à combler l’écart dans les négociations contractuelles bloquées avec les syndicats du secteur public à l’approche des grèves majeures de cette semaine.

Les recommandations du conciliateur ne seront toutefois pas contraignantes.

Un groupe syndical représentant environ 420 000 travailleurs du secteur public dans les domaines de l’éducation, de la santé et des services sociaux a demandé un conciliateur pour faire avancer les négociations.

Le groupe, qui se fait appeler « front commun », organisera une grève de trois jours à partir de mardi.

Le front commun a rejeté la dernière offre contractuelle du Québec – une augmentation de salaire de 10,3 pour cent sur cinq ans et un paiement unique de 1 000 $ à chaque travailleur.

Les syndicats n’ont pas dit publiquement s’ils avaient fait une contre-proposition, alors que leurs revendications précédentes incluaient un contrat de trois ans avec des augmentations annuelles liées au taux d’inflation.

Un syndicat extérieur au front commun et représentant environ 65 000 enseignants lancera jeudi une grève générale illimitée.

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